Point info 49
Charity Mutonodzo-Davies et Douglas Magunda
Au cours d’une grande partie de ces dix dernières années, le gouvernement zimbabwéen et les bailleurs de fonds ont mis en oeuvre des programmes de soutien en intrants agricoles qui associent des fournisseurs privés (maisons semencières et fabricants d’engrais), des grossistes et des agro-distributeurs ruraux. Ces initiatives ont contourné ainsi la chaîne de commercialisation autrefois dynamique. Le présent article affirme que ces programmes de «secours semencier» ont participé à l’effondrement de la chaîne d’approvisionnement en intrants, accélérant ainsi le déclin de productivité agricole que connaît aujourd’hui le Zimbabwe.
File: Point_Info_049.pdf